
Mon parcours
Qui a débuté à l’ère du minitel
À quel moment commence un parcours professionnel ?
(vous avez 4h)
Aux premières études post-bac ?
Au moment où on a commencé LA formation ou LE job qui a fait de nous le pro que nous sommes aujourd’hui ?


Ou bien avant ça, plus tôt…
- au moment des premiers projets réalisés sur son temps libre, ébauchant les thèmes qui nous seront chers plus tard
- la première fois qu’on a énoncé à voix haute le métier qu’on “voudra faire quand on sera grande” ?
Chacun de ces angles n’apporterait qu’une réponse partielle.
Je trouve que ce qui est intéressant, ce n’est pas tant le parcours comme enchaînement de faits et de dates mais la façon dont on se le raconte, le fil conducteur qu’on y perçoit.

Récit linéaire de mon parcours universitaire et pro
Si vous êtes pressé-e et porté-e sur les faits, vous pouvez directement consulter mon CV

Récit non académique :
la version “aventure humaine”
Juste après avoir voulu être maîtresse et médecin, j’ai décidé d’être journaliste.
Une vocation qui s’est illustrée par mon appétence pour les lettres et les langues ainsi que par l’animation de chroniques dans la radio de mon lycée. Souhaitant saisir en marche les évolutions technologiques de l’époque, j’apprenais aussi à bidouiller un peu de code HTML sur mon temps libre.

Juriste qui aime écrire
Hasard des études et de ma motivation vacillante pour les concours, je ne suis pas devenue journaliste mais juriste en droit des affaires, spécialisée en droit de la propriété intellectuelle. Un métier que j’ai exercé 5 ans avant de saisir l’opportunité de revenir à mes premières amours : l’écriture. Car même en tant que juriste, je m’étais retrouvée sur des missions polyvalentes, couvrant la rédaction technique et la gestion du site web de mon entreprise.

Le retour aux mots
Combinée au développement d’un blog et à la rédaction d’articles de fond sur des sujets de parentalité, il ne m’a pas fallu longtemps pour effectuer une reconversion efficace : je suis devenue rédactrice Web freelance.
J’avais acquis sur le tas un certain nombre de connaissances et compétences, grâce à une faculté que nous sommes nombreux à partager : la curiosité.
Embauchée par la suite par une agence de communication, je repensais alors avec amusement aux deux refus que j’avais reçus pour des licences information-communication, quelques années plus tôt ; refus qui m’avait menée au sein de cet hybride et passionnant magistère en droit des TIC.

Une constante : rendre intelligible
Dans toutes ces expériences, le fil conducteur fut selon moi l’appétit de comprendre, de décrypter et de rendre accessible pour un public donné.
Décortiquer autant les engagements d’un contrat que les attentes d’un client de site web, retranscrire le message d’un consultant qui souhaite diffuser son activité comme les enjeux d’expertise d’une industrie de pointe, permettre aux professionnels de s’offrir les mots justes pour expliquer ce qu’ils font si bien.

En deux mots, s’il était un collier de perles, ce fil serait composé d’un algorithme de 3 notions :
*
écoute
*
conception
*
transmission
Compétences mises en œuvre :
- adaptabilité (forte)
- rebond (mais si)
- écoute
- autonomie (j’aime avoir les coudées franches, tout en ayant 👇 )
- esprit d’équipe
- confiance en moi (tout vient à point à qui sait attendre)
- rigueur (et non rigidité)
- pédagogie (j’adore vulgariser et rendre accessible)
- curiosité (je le répète, au cas où)